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Grenade ( Granada, en espagnol )

     D'abord il faut signaler le piège pour les touristes motorisés. A Grenade le centre-ville est interdit aux voitures, sauf autorisation spéciale. Je n'étais pas prévenu que les clients des hôtels font partie des spécialement autorisés. Donc, en roulant vers notre destination, je tombe sur un panneau . J'essaie de trouver un autre chemin, un autre panneau. Après plusieurs essais infructueux, une fois bien énervé, j'ai dû ne pas voir un panneau et on a fini par arriver à destination. A la réception, l'hôtel Navas, ils m'avaient demandé le numéro des plaques de la voiture pour qu'ils préviennent la police à ne pas me verbaliser.

    Le jour d'arrivée on a pu visiter la Cathédrale, la plus grande de ce voyage, et Capilla real avec les tombes des Roi Catholiques.

Dans la Chapelle il était interdit de prendre des photos. Pour une fois n'ayant pas envie d'en voler, le lecteur ne verra pas sur site.

    C'est pour voir Alhambra qu'on vient à Grenade. Pour y se rendre, le plus commode c'est de prendre le minibus de la ligne C3, pas loin de l'hôtel. Les billets sont réservés longtemps en avance, sur Internet. Le site s'étend sur deux collines. Le site principal sur l'une et le palais Generalife sur l'autre.

    La visite débute par le Palais des Nasrides, c'est ici le contrôle de l'heure d'entré. Se succèdent des cours et patios avec des fontaines et des salles vides aux déclarations en dentelles.

En sortant du Palais on longe le ravin qui nous sépare de Generalife, a travers des jardins, en suivant des tours de la muraille.

    L'origine du nom du palais Generalife n'à rien avoir avec un quelconque général. C'est de l'arabe. Janat al-Arif signifie: Le Paradis de l'architecte. C'est vraiment paradisiaque. Avec beaucoup d'eau.

 

De retour vers le site principal on passe à côté de l'amphithéâtre, une espace de spectacle moderne ajouté dans les années cinquante. L'église Santa Maria abrite des sculptures épouvantables et, c'est la saison, une crèche. Juste à côté le Palais de Charles Quint est circulaire et immense.

    L'Alcazaba (la Citadelle) est la partie la plus ancienne de l'Alhambra.

La vue sur la ville, dont la Cathédrale et la Chapelle, et surtout sur le quartier d'Albaicin sur la colline d'en face est magnifique.

    Les cours, jardins et fontaines de l'Alhambra avec vue sur le quartier blanc d'Albaicin jeudi, le labyrinthe des ruelles et misons blanches d'Albaicin avec vue sur les remparts et palais d'Alhambra le vendredi. C'est l'ancien quartier arabe où se sont réfugiés ceux qui ont resté après la reconquête. Ils étaient définitivement chassé environs un siècle plus tard. Maintenant c'est plutôt chic. L'endroit où aboutissent tous les touristes est la Place San Nicolas, avec les nombreux cafés, pour admirer la vue.

    En flânant dans les ruelles une flèche nous indiquait le Museo Cuevas del Sacromonte, le Musée Troglodyte. On croyait qu'il est juste à côté. Il fallait marcher environs deux kilomètres, jusqu'au pittoresque quartier de Sacromonte, la village gitane. Toujours de nombreuses habitations et commerces sont creusées dans la roche.

Le musée, c'est la reconstruction dans une série de grottes ammenagées. Finalement, pas terrible, à part la vue avec la Siéra Nevada au fond.

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