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Lanzarote, une deuxième fois au THB.  

J'ai déjà parlé des lieux visités dans mon récit du premier voyage, en 2019. Ceci est un complément, purement familial.

    On est reparti à Lanzarote è l'hôtel THB Tropical Island****, pour une semaine, cette fois avec les petits-enfants et leur père.

    Réservé avec Voyage Privé, on nous prévient que les horaires du vol charter seront connus quelques jours avant le départ. Effectivement, une semaine avant on est informés que l'enregistrement est à 3h00 du matin pour le décollage à 5h00 de l'aéroport Charles de Gaulle. Donc il ne nous reste que de partir avec le dernier métro et de somnoler à l'aéroport et dans l'avion. Une fois les valises bouclées et n'ayant pas quoi faire à la maison, on est parti vers onze heures et demie. A causes des travaux sur le RER, transfert en bus à partir de la gare Mitry-Claye. A l'arrivée à l'hôtel, à Lanzarote vers 10 heures, nouvel surprise : On aura la chambre à 14h30 ! En partant on s'avait dit que s'il faut attendre, on ira à la piscine. On a fini par somnoler, après le deuxième petit déjeuner et déjeuner. Deuxième, parce que Vera avait préparé de sandwiches pour l'avion. Ce qui m'embête c'est qu'apparemment ils ne distribuaient les chambres au fur et à la mesure qu'elles sont prêtes mais toutes au même temps. A 14h30 !

    Fort de l'expérience du premier voyage, j'ai contacté l'hôtel, après avoir réservé, pour leur demander une chambre au bord d'une des piscines . C'est comme une piscine privée, il n'y a rien à emporter pour y aller. Et on peut boire des mojitos sur place. Quand on sort de l'eau, on va directement sous la douche chaude de la salle de bain. Tout le monde c'est très bien marré, surtout Eileen. On a refait le numéro de 2019 , beaucoup mieux réalisé. Toutes les photos sont des sauts differents :

 

Nous ne sommes même pas allés à la grande piscine. Pour quoi faire ?

    Cette année c'est en formule All inclusive ! On n'arrête pas de manger. Trop. Ce qui est sidérant, c'est le gaspillage alimentaire. La quantité de nourriture jetée est énorme. Plus que 20% et je ne parle pas des os ou épluchures. Il n'y a aucune incitation à la sobriété. Les enfants, et beaucoup d'adultes, remplissent les assiettes et décident ensuite quoi et combien ils vont manger. Les serveurs ramassent, indifférentes, Je n'ai jamais vu même pas un commencement de grimace de désapprobation. Pire encore, les restes ne sont même pas valorisés : ils sont versés dans des sacs poubelles avec les autres déchets. Moi, j'étais content, il y avait toujours du poisson frais et des sardines de boite et selon les jours des crevettes, calamars ou bébé seiches. Dès fois Nael aussi remplissait son assiette et mangeait tout, ce qui n'est pas commun.

    Ces dernières années, avec la réduction entreprise, je loue chez Hertz. Problème cette année, les Hertz étaient très chères et il n'y avait peu de choix. Je me suis rebattu sur un loueur local, Cicar. C'était une nouvelle expérience et pas un mauvais choix. Ils peuvent livrer la voiture à l'hôtel. Ça tombait bien parce que le transfert était compris dans le voyage. J'ai donc réservé une Alfa Romeo pour le lendemain de notre arrivée, jusqu'au la veille du départ économisant de cette manière deux jours de location. En effet ils n'ont pas livré la voiture à l'hôtel mais quelqu'un est venu et nous à amener, les deux conducteurs, à l'agence pour signer le contrat et prendre la voiture. Pour le retour j'avais qu'a laisser les clefs à la réception. Parfait.

    En une semaine de séjour, pas beaucoup de visites.

    Le Parc National de Timanfaya c'est un must. Important à savoir : pour aller au sommet il faut arriver à l'entrée à 9h15 au plus tard pour espérer de faire moins d'une heure de queue. Je parle de la queue pour arriver au parking. Arrivé vers dix heure on est allé aux chameaux et revenue le lendemain.

    La promenade en chameaux a beaucoup de succès. Les enfants, Vera et Darko on fait le tour , les cheveux aux quatre vents comme d'habitude à Lanzarote.

 

    Au sommet de Timanfaya, du classique. Le geyser artificiel, la paille qui prend feu toute seule, le barbecue au souffle des entrailles de la terre. Je n'ai toujours pas compris comment ça se fait que les roches très chaudes sont si près de la surface au sommet de la colline.

    Vera, Darko et Eileen sont allé à la Cueva des los Verdes pour faire voir à Darko la SURPRISE, que je ne vais toujours pas dévoiler.

    Très belle journée à l'Aquapark Costa Teguise. Cette année Eileen à plus de 120 cm et a droit de faire tous les toboggans, sauf ceux réservés aux petits. Elle m'avait épaté avec sa proposition : "Dedo, on fera d'abord le toboggan le plus difficile, ensuite on n'aura pas peur aux autres !" Considéré le plus difficile c'est le toboggan rouge, appelé Stuka, d'une trentaine de mètres de haut. On l'a fait plusieurs fois : Eileen (et le Super Kamikaze, le bleu ), Darko et moi . En effet, chaque toboggan a sa spécificité. L'Espiral est court mais dedans on a l'impression de tourner autour de soi, comme une toupie. Dans le Torbellino  le tuyau abouti dans une casserole sans fond. Eileen à essayer les barres. Sans succès, mais de belles photos.

    La nuit de 28 aout, pendant que tout le monde dormait, j'ai fait une copie d'écran du site flightaware.com avec le vol AF401 Santiago - Paris. Lea était dedans, sur le retour de Chili.

    Puisque les billets d'avion comprenaient un bagage en soute par personne, on a pris une valise et profité pour acheter en ville quelques bouteilles d'alcool à presque moitié prix par rapport au boutiques tax free de l'aéroport.

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