Bêtes sauvages, dans les réserves et ailleurs.
Dans les réserves les animaux ne sont ni nourris ni soignés, comme dans la nature. Et quand dans la réserve privée on demande comment ça se fait qu'il y a des bottes de paille à côté des troupeaux on vous explique qu'il y a une sécheresse actuellement et que les réserves privées ne peuvent pas se permettre de perdre des animaux, qui coûtent si cher.
Dans les villages de vacances, ici Aventura, on peut rencontrer des animaux, y compris des antilopes et des koudous.
On passe la frontière avec Swaziland à pieds et on va déjeuner au Matsamo Cultural Park, où on peut observer les tisserins. C'est là que Léa a lancé son fameux "Papa, fais pas le con! Tu vois pas le crocodile?" En effet, il ne savait pas nager.
Si on s'arrête déjeuner dans une réserve de gibier, on peut profiter pour faire une échappée en solitaire à la recherche de brèves rencontres.
La réserve Hluhluwe (prononcer Chluchlui) est très riche, mais en voyage organisée on dispose de deux heures et demie pour la visiter. Néanmoins on peut, quand on a de la chance, voir des lycaons ou assister au sevrage du rhino blanc. Si on a l'œil on peut observer le scarabée rouler sa boulle de bouse et l'oiseau nettoyeur s'occuper des yeux et des fesses de la girafe.
La visite de la colonie de Duiker Island d'otaries à fourrure du Cap se fait de manière industrielle avec des bateaux de plus d'une centaine de personnes. Pourtant je n'ai pas l'impression qu'on les perturbe.
Organisée en parc naturel, la colonie des pingouins de Boulders se trouve au milieu d'un village de résidences secondaires. Un réseau de passerelles permet de s'approcher sans les déranger.