Jucaro, l'embarcadère.
Le retour au port est marqué par un accident de
circulation maritime. Au port le bateau doit faire une manœuvre délicate pour accoster en marche arrière
, entre
un autre bateau-hôtel à gauche et les
crevettiers (ou langoustiers) à droite. Même si j'étais sur le pont, je n'ai
pas compris comment le navire c'est déporté vers les bateaux déjà amarrés et
c'est fait éperonné par le premier voisin. Le résultat : une déformation sur la
structure, sans conséquences. Plus tard dans l'après-midi le dernier arrivé c'est
très bien calé dans la place qui restait.
J'ai profité du temps libre avant le départ pour faire un tour au village. Voilà une gallérie d'images :
Au village j'ai aperçu deux fois la buste de José Marty, héros national de la lutte pour l'Independence: dans la cours de l'école et devant un bâtiment devant le port de pêche.
Sur le trajet de retour débute par une petite route, une nationale et une "autopista national", une deux vois de type autoroute.
Sur la route on voyait parfois de
barrages de police, comme sur l'avant dernière image au-dessus. Une fois ils
nous ont arrêté. Le flic a demandé quelque chose, le chauffeur avait répondu
"Frances" et on est reparti. Pourtant on était que trois Français dans le
minibus. A la Havane je n'ai pas vu de policiers.
Une originalité cubaine : certains restoroutes et stations-services étaient placés entre les vois. Comme ça une seule suffit pour les deux directions. A la station-service "km 259" il y avait une queue pour l'essence. "Dès fois il y a des difficultés d'approvisionnement à Cuba." Mais j'en ai vu où il n'y avait pas de queue ! "Ça veut dire qu'elle étaient fermées !" Ah !
Encore quelque images prises le long du parcours de retour :