Safari Blue c'est une excursion
d'une journée sur un site de baignade annoncé comme paradisiaque.
Un
taxi nous amène, en une heure et demie à l'autre bout de l'île, vers le Sud, à
Fumba. Le trajet nous a permis de voir la route qu'on a fait à l'arrivé, lors de
la nuit noire. Au bout il nous a laissé sur une sorte d'arrêt de bus ou nous
avons rejoint les autres excursionnistes, après l'avoir pris en
photo pour pouvoir le reconnaître au retour. Une
fois rassemblé, nous avons descendu sur la plage et rejoint le bateau, un boutre
traditionnel.
Il y a environ une heure de navigation agréable jusqu'aux sites. En effet il y a quatre activités et de nombreux bateaux qui qui les visitent dans le même ordre. Donc, sur chaque site ils sont au même temps.
Kwale
blue lagoon
.
C'est un lagon avec des formations rocheuses et eau cristalline. La marée
basse était assez avancée et nous avions que passé, ils avaient peur de
s'échoué. Dommage, plusieurs d'autre bateau étaient là, arrivés plus tôt et
des gens se baignaient encore.
Snorkeling.
L'étape suivante c'est du tuba quelques encablures plus loin dans une zone
d'environs cinq mètres de profondeur.
C'était
l'occasion pour moi d'avoir un aperçu et pour Vera de profiter du monde
sous-marin zanzibarite. Au fond un peu de corail cassé, des
anémones. Quelques poissons, dont des
sergents majeur que Vera connais depuis notre
séjour à Yucatan en 1997. J'ai pu la prendre en
photo d'en bas. Pour moi la surprise c'était une famille de quatre
calamars, lesquels se sont sauvés très vite dès
que je les avais vu.
Kwale
Sandbank.
C'est un banc de sable blanc immaculé, une
vraie carte postale. Sorti d'une conte de fées, quand on passe à côté le
matin en allé et l'après-midi au
retour.
Au
moment de notre débarquement il y avait foule. Ce n'est pas très grave mais
ils auraient pu mieux s'organiser. Tout le monde est à la recherche d'un
cadre pour se faire prendre en photo sans trop de monde autour. Ici bikini
et burkini cohabitent.
Adasonia
.
Sur l'île de dizaines de petites paillotes attendent les hordes de
participants pour le déjeuner. Nous débarquons à une grosse centaine de
mètres de la plage, la marée bien basse oblige. Après avoir croisé le
pécheur qui nettoie ses
prises d'abord visite du gros baobab déraciné.
Un jeune présente une belle crabe de cocotier et propose de se faire
photographier pour quelques sous. Le
repas de pique-nique est proposé avec langouste,
vraiment petite. Pourtant il en faut deux ou trois cents par jour sur l'île.
Il ne nous restait que de rentrer. Je tiens à signaler que à partir d'un certain âge les gens n'hésitent pas, insistent même, de vous aider à porter vos affaires. Avec le téléphone dans la bouche s'il faut.