Retour

Hawaii avec Nael, des dauphins et des mantas.

    Rappel: baba et dedo, en macédonien, veut dire: mamie, papi.

    Depuis des années j'accumulais des miles (points de fidélité) chez Air France. On rêvait de partir tous les deux, Vera et moi, vers une destination très lointaine en classe affaire. Il en fallait 300 000. Une fois le compte à point, au lieu de Micronésie on a préféré partir à Hawaii avec Nael. A trois on avait assez en classe premium économique, jusqu'au Los Angeles. En effet, les miles sont de moins en moins rentables.

    Une fois les péripéties avec mon visa américain terminées on est parti, en A380 , pour

    Après un long vol de nuit, retrouvailles avec Eileen.

     

    Je ne peux pas m'empêcher de livrer ici une dernière réflexion :

    Les pourboires. Les américains, surtout en vacances, n'arrêtent pas de distribuer des billets. Un ou deux dollars au chauffer de la navette de la compagnie de location de voitures, cinq au guide, dix par personne au guide d'excursion en mer. Un pourcentage au serveuse du resto, des billets même s'ils payent avec carte. Mais comment font-ils ? Il faut toujours avoir différentes petites coupures sur soi. On ne peut pas donner un billet de vingt et demander qu'on vous rend dix-neuf. Comment font-ils pour en avoir toujours l'assortiment ? Ils passent à la banque tous les jours ? Ce n'est pas la banque, c'est le distributeur qui distribue de nos jours. Des billets de vingt !

    Mais comment font-ils ?

Retour