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Patong, à Phuket

    A Charles de Gaulle je remarque, encore une fois, commuant ils s'en mettent plein les fouilles grâce aux terroristes: 2.2 € le demi litre d'eau de source. Passons. Après l'escale à Londres j'ai embarqué dans l'A380 pour Kuala Lumpur. Treize heures de vol, en évitant les zones à risque. Contrairement à 2013, cette fois ci la route ne passe pas par déçu de Phuket mais plus à l'ouest. On survole les îles Nicobar, encore un archipel mystérieux. Sur l'écran vidéo on observe notre l'atterrissage à Kuala. Malaisie est un pays islamique: les femmes agents à l'aéroport sont volées. Au risque de choquer, j'ai trouvé les policières plutôt élégantes. J'ai pas réussi de les prendre en photo, j'ai trouvé une image sur Internet. J'ai passé la nuit dans un hôtel dans une banlieue à une demi-heure de l'aéroport.

    A l'aéroport de Phuket, toujours pas possible de retirer de l'argent avec ma carte VISA de la BNP. La différence c'est quand, de retour, je suis allé à l'agence je n'ai pas eu à faire à la même personne et j'ai eu une autre réponse. Qu'il y a des pays qui utilisent des pare feux pour les cartes. Voici la liste. C'est clair!

    J'ai descendu dans le même hôtel sur Bangla Road, décorée pour le Nouvelle An chinois. Le soir je me suis tapé une portion de killer prawns et le lendemain parti, en transport en commun, pour Ranong: bus-camion pour la ville de Phuket, taxi collectif pour la gare routière et bus avec wifi interurbain. En allant mettre mon sac de plongée dans la soute je me suis cogné la tête au rétroviseur du bus. Voyant les têtes de gens en entrant dans le bus je me suis rendu compte que j'avais le visage ensanglanté. Sur le selfie, le soir, le visage est nettoyé depuis longtemps.

Ranong

    De retour de Ranong j'ai eu le temps de faire un tour au Bangla Road avant et après m'avoir régalé d'un délicieux plat de cigales de mer.

    Le dernier jour, le lendemain, je suis allé plonger avec All4Diving Lien Internet à Racha Noi. Phuket est une usine à touristes dans tous les domaines, y compris la plongée. Un van est venu me chercher à l'hôtel à 7 heures du matin. Il y a presqu'une heure de trajet jusqu'à Chalong, l'embarcadère. Toutes les sorties de plongée de Phuket partent d'ici, à la même heure. Dans le vacarme des guides les plongeurs montent dans des petites navettes qui les transportent au bout de la jetée où sont amarrés les bateaux . Il faut faire très attention à ne pas perdre son groupe, des personnes qu'on a vu pour la première fois le matin même et se sont mêlées aux autres.

    Notre bateau est assez grand, on est une cinquantaine de plongeurs. Je ne dis pas qu'on est serré comme des sardines, mais pas loin. On part assez tard, il y a un long trajet, on doit rentrer au port assez tôt. Trois plongées de prévu. Parce que les intervalles sont courts, les temps de plongée sont limités à 45 minutes. Ce que n'est pas gênant pour moi, vu ma consommation d'air. La mise à l'eau ressemble à la sortie des parachutistes de l'avion. Je suis étonné de constater qu'il n'y a pas d'annexe. Que ce soit en aller ou au retour, on fait partie d'une flottille à l'attaque.

    Le fond est sablonneux, pas de corail. La principale attraction se sont le nombreux couples gobie avec sa crevette symbiotique. Il y a un paquet. Pour ceux qui ne connaissent pas: la crevette creuse le trou et le poisson gobie monte la garde. Je croix qu'elle est aveugle. En cas de danger il lui fait signe, par des vibrations, et tous les deux disparaissent dans le trou en un clin d'œil. J'ai fait une vidéo, de médiocre qualité . Voilà une trouvée sur YouTube .

    Une squille, une crevette et trois poissons, dont une sole dans le sable:

    La vie marine étant pas très abondante, ils ont ajouté quelques attractions artificielles. Un bateau de pêche, une moto et des structures en béton pour essaimer du corail.

    Flânant dans Patong le dernier soir j'étais témoin que la Thaïlande peut satisfaire un tas de besoins différents des touristes. Se refaire les dents pour pas cher. Ou se faire tailler un costard en 24 heures, en choisissant le modèle dans les catalogues des grandes marques. Pour finir une originalité: un restaurant pas loin du marché proposait de vous préparer les fruits de mer que vous auriez acheté chez le poissonnier. A mon grand regret, je n'ai pas eu le temps d'en profiter. Le soir je suis retourné à mon restaurant préféré, sur le front de mer pour un dernier plat de calamars frais. Au même moment, d'autre touristes se régalés chez McDo.

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