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A la recherche des mobulas, dans la mer d'Andaman.

    C'est mon deuxième voyage de plongée en Myanmar (Birmanie) avec Smiling Seahorse Lien Internet . Dans ce récit je me réfère souvent à celui de 2013.

    Pour éviter le suspense, je commence par la conclusion: non, je n'ai pas vu les mobulas. Ni leurs sauts spectaculaires ni même pas une sous la surface. Pour illustrer cette page de mobulas je suis allé chercher des images sur Internet. Ceci étant dit, reprenons dans l'ordre.

    J'avais tellement apprécié ma croisière avec Camille et Franck que j'avais décidé de rempiler cette année. Surtout quand j'ai vu leur dernier projet: aller plus au Nord de Black Rock à la recherche des mobulas et de nouveaux sites de plongée. Il faut savoir qu'en plongée on va toujours sur des sites bien connus par les guides. Des fois si bien connus qu'il n'y a plus grand chose à voir, les gros poissons se sont barrés ayant marre d'être dérangés. Quand j'ai vu la vidéo de la BBC je me suis dit que même si je ne verrais qu'un dixième ça va être formidable. En effet. J'en et vu que la dixième, la surface de la mer sans les mobulas. Pourtant je ne suis pas rentré mécontent.

    J'avais prévu de plonger un jour à Phuket, à Koh Phi Phi, monter à Ranong pour une semaine de croisière et revenir à Phuket pour une autre journée de plongée avant de rentrer. Sauf que tout ne s'est pas passé comme prévu. D'abord à cause d'un problème de sente début janvier, que je ne développerai pas ici, j'ai failli tous abandonner. Ensuite les péripéties avec l'avion , puis la mauvaise état de la mer et à la fin la perte de mon téléphone portable.

    Donc je suis parti le 3 février pour Phuket.

            Patong, à Phuket,

                Ranong, le port de départ

                    Croisière Mobula, plongées en Birmanie.

    Arrivé à Kuala Lumpur et après avoir changé de terminal j'ai constaté que je n'ai plus mon téléphone portable. Pourtant je me rappelé bien de l'avoir étain au décollage de Phuket. Donc il est tombé de mon sac qui roulait sous le siège. Je suis allé au guichet de Malaysien. La dame a téléphoné et m'avait dit que quelqu'un ira voir dans l'avion. Quelques minutes plus tard on l'a rappelé en lui disant qu'ils n'ont rien trouvé. Évidement. Pourquoi voulez-vous que la personne serait revenue en disant: oui, j'ai trouvai un téléphone. C'est comme ça que je suis passé de Samsung à Wiko.

    Il n'y a pas que des désavantages à voyager avec Malaysien en ce moment. Dans le vol de retour, toute une nuit entre Kuala Lumpur et Londres, j'avais toute une rangée de trois sièges que pour moi. Tout ça après avoir supprimé les dessertes de Paris et Amsterdam et redirigé tous les passagers vers Londre.

Un selfie, quelque part dans Merguis:

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