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Les Iles Oubliées, croisière dans la mer de Banda.

    Entre Bali et la Papouasie, juste au Nord de l'île de Timor et d'Australie, les Îles Oubliées sont une des plus en plus rares grandes espaces vierges de la planète.

    Pour y aller ce n'est pas facile. Avant d'embarquer (sur le bateau) j'ai fait : Paris - Jeddah - Jakarta - hôtel - Macassar - Ambon - visite - Saumlki - hôtel.

    Cette fois si je suis parti avec Saudia Airlines. L'avantage : les avions ne sont pas pleins. Sur les quatre trajet (Paris - Jeddah cinq heures et Jeddah - Jakarta dix) trois fois j'étais seul sur ma rangée de trois sièges. On n'est pas en première, mais on dort quand même. La désavantage : le choix des films désastreux, vu les contraintes idéologiques et morales. On dirait que quand on dort ... Oui, mais on ne dort pas tout le temps. La curiosité : une prière au décollage. Ça part d'une bonne intention. L'imprévue : l'avion de Paris avais du retard, j'ai loupé la correspondance à Jeddah. J'ai dû prendre le suivant, dix heures plus tard. De retour, en évoquant the European Passenger Rights Regulation EC 261/04 et en insistant un peu, j'ai obtenu un dédommagement de 600 €, à comparer au prix du billet qui était de 682.09 €.

            Jakarta, dans la capitale,

                Ambon, en correspondance

                Saumlaki, le port de départ

                    Croisière, croisière dans la mer de Banda et

                        les plongées et gallériе.

                Maumere, le port d'arrivé.

    Le retour est laborieux aussi : Maumere - Kupang - Surabaya - Jakarta - hôtel - Jeddah - Paris.

    A l'escale à Jeddah j'ai pris des photos des vendeuses voilées du free shop. Discrètement, ici ça ne rigole pas. Parmi les voyageurs pour Paris il y avait un couple avec la dame voilée mieux qu'intégralement. Au débarquement à Paris elle n'avait qu'un foulard cachant les cheveux.

    L'avion du dernier trajet, de Jeddah pour Paris était un Boeing Dreamliner, avec des hublots électro chromatiques, commandés à distance par les pilotes. Au départ étaient bleus, ensuite complètement obscurs, normalement transparents à l'atterrissage. Pas agréable pour des photos aériennes.